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Révélations du feu de Dieu
5 février 2015

Je suis Charlie

Je suis Charlie

J’emmerde…

Les ordures du banditisme qui embrassent l’islam en prison s’imaginent, très calculateurs, par le djihad et une fin de martyr, expier ainsi fort avantageusement toutes leurs dégueulasseries antérieures. Peine perdue. Marché de dupes proposé par des religieux plus escrocs que les pires aigrefins du milieu carcéral. Ces brigands théologiques vendent des pouvoirs qu’ils n’ont pas: l’absolution divine et un ticket pour le paradis. Sinistres farces. Imbécilités incommensurables. Chaque turpitude doit être totalement «remboursée» en souffrance infligée à son auteur. Dieu n’accorde jamais aucune «remise de peine». Le payement de l’intégralité des saloperies commises prend la forme d’expériences douloureuses au cours des vies suivantes. Aucun moyen d’y échapper. Le «paradis des martyrs» fait donc aussi partie du lot de l’escroquerie confessionnelle. Promesse évidemment jamais remplie. Mais qu’on se rassure, les religieux escrocs payeront, eux aussi, d’une façon identique, pour leur truandage au service de la cruauté islamique.

 

Le fautif n’obtient aucun pardon de Dieu pour ses crimes. Refus de pardonner sans juger. Nul reproche divin. Avec amour, la Conscience Initiale suit son plan. En refusant son pardon, la Conscience Initiale fait au coupable, à l’homme, une fois encore, le plus beau des cadeaux: sa liberté. L’existence du mal conditionne la liberté de l’homme envers la Conscience Initiale. Son souvenir aussi.

Si la Conscience Initiale, étourdiment, «effaçait» les péchés de l’homme, cela transformerait ce dernier en innocent au cerveau lessivé. Un tel imbécile ne serait même plus comment fonctionne le mal. Il aurait perdu son immunité naturelle. A sa prochaine rencontre avec l’utile «serpent», il retournerait vite au fond du «précipice». Etre bon ne signifie pas être bête. Les grands salauds font d’excellents saints, une fois leur cruauté, leur perversité, leur animalité, vidangées, neutralisées.

Après avoir inconséquemment effacé les péchés de l’homme, la Conscience Initiale devrait, dans ce cas, tout le temps le préserver des tentations. L’être amputé de sa mémoire du mal ne serait alors rien d’autre qu’un malade hospitalisé, incapable d’exister hors d’une bulle protectrice. Un prisonnier de la Conscience Initiale. Un béni-oui-oui toujours d’accord avec son maître. Une chiffe molle dénuée d’opinion personnelle. La Conscience Initiale n’a pas besoin de captifs, de robots préprogrammés, de clones soumis, tels les sujets d’un tyran. La Conscience Initiale a créé les hommes libres afin qu’ils soient libres. La liberté devient effective quand on n’outrepasse pas ses potentialités raisonnables.

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