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Révélations du feu de Dieu
6 novembre 2016

Déradicaliser

Abomination

Certains religieux enfreignent la loi capitale d’Allah: ne pas tuer en Son nom.

 

Tuer au nom d’Allah, c’est Lui faire le plus grand des affronts.

 

Abomination est de tuer en Son nom pour «blasphème».

Abomination est de tuer en Son nom pour apostasie.

Abomination est de tuer en Son nom à cause d’une religion différente.

Abomination est de tuer en Son nom parce qu’un coreligionnaire reconnaît une filiation différente.

Abomination est de tuer en Son nom parce qu’on ne pratique pas la charia, prétendument dictée telle quelle par Dieu.

Abomination est de tuer en Son nom parce qu’on ne respecte pas une conviction définie par l’autorité religieuse.

Abomination est de tuer en Son nom pour une quelconque raison religieuse.

 

Tuent en impliquant Allah, les guerriers barbares des tribus sauvages.

 

Le passif karmique d’un individu qui tue au nom d’Allah est colossal.

 

Pour déradicaliser les fanatiques sanguinaires de l’islam, il faut leur tenir un discours anti-sauvagerie religieuse bien argumenté.

 

Promesses

L’être «libéré» n’accepte pas n’importe quoi. Il n’éprouve aucune compassion pour les religieux qui tuent au nom d’Allah. Ces pervers peuplent, dans l’«au-delà», les territoires de désolation.

 

L’être «libéré» n’éprouve aucune compassion pour les assassins qui tuent au nom de la divinité d’un quelconque panthéon. Ces pervers peuplent, dans l’«au-delà», les territoires de désolation.

 

L’être «libéré» n’éprouve aucune compassion pour les assassins qui tuent au nom de Lucifer. Ces pervers peuplent, dans l’«au-delà», les territoires de désolation.

 

L’être «libéré» n’éprouve aucune compassion pour les assassins qui tuent au nom du diable. Ces pervers peuplent, dans l’«au-delà», les territoires de désolation.

 

Conformément à la promesse luciférienne, les êtres «libérés» n’aident jamais l’individu qui tua au nom d’Allah et ne change pas d’opinion.

 

Les êtres «libérés» laissent longtemps pourrir, dans l’espace désolé de l’«au-delà», l’individu qui tua au nom d’Allah, conformément à la promesse luciférienne.

 

Tous ceux qui tuent en impliquant d’Allah écopent d’une succession interminable de réincarnations infernales. Promesse de Lucifer.

 

On ne tue pas un homme formé pour préserver la vie en gestation. Ces fanatiques exécutant des médecins sont autant criminels que les assassins vomis par le Vieux c… de la Montagne. Ils auront à répondre de leurs meurtres devant le «tribunal divin». La décision d’une IVG relève de la seule responsabilité du couple concerné. Toute personne extérieure, soutenant l’interdiction officielle de l’IVG, puisque que cela ne la regarde pas, endosse les conséquences des interventions rendues impossibles. Multipliées par la totalité des cas, l’«addition» devient vite salée. Il arrive que l’IVG soit hautement nécessaire, compte tenu de certains facteurs. L’empêchement ne fait alors qu’augmenter le «prix à payer».

 

Lucifer possède le pouvoir de «durcir» les sanctions du système karmique (justice divine).

 

Durcir

Quand Lucifer «durcit» les sanctions du système karmique (justice divine), il augmente énormément leur pénibilité par «effet cumulatif». Au cours d’une seule réincarnation, le coupable endure la quasi-totalité des sanctions qu’il doit «payer», pour l’ensemble de ses fautes.

 

Si pendant la réincarnation luciférienne, le coupable continue à tuer au nom d’Allah: rebelote! Lucifer «durcit» encore les sanctions du système karmique (justice divine). Un tel châtiment recommence chaque fois que l’individu assassine au nom d’Allah durant la réincarnation suivante.

 

Lucifer «durcit» les sanctions du système karmique (justice divine) systématiquement, pour chaque individu qui tue au nom d’Allah.

 

Lucifer «durcit» les sanctions du système karmique (justice divine) systématiquement, pour chaque individu qui approuve l’assassinat au nom d’Allah.

 

Le passif karmique d’un individu qui approuve les crimes au nom d’Allah est colossal.

 

Impossibilité pour le religieux qui tue au nom d’Allah d’être «libérable» dans l’«au-delà». Promesse de Lucifer.

 

Impossibilité pour l’individu qui approuve l’homicide au nom d’Allah d’être «libérable» dans l’«au-delà». Promesse de Lucifer.

 

Impossibilité pour chaque membre d’une religion ayant une inquisition (charia + fatwas) et qui ne s’oppose pas publiquement à l’homicide au nom d’Allah d’être «libérable» dans l’«au-delà». Promesse de Lucifer.

 

Le religieux qui tue au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

L’individu qui approuve l’homicide au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

L’individu qui ne s’oppose pas publiquement à l’homicide au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

Allah interdit le suicide en Son nom (perversité aiguillonnée par les chefs religieux des tribus sauvages).

 

L’imbécile qui se suicide au nom d’Allah, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable». Promesse de Lucifer.

 

L’imbécile qui se suicide au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

L’individu qui pousse l’imbécile à se suicider au nom d’Allah, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable». Promesse de Lucifer.

 

L’individu qui pousse l’imbécile à se suicider au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

Chaque individu qui approuve le suicide au nom d’Allah, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable». Promesse de Lucifer.

 

Chaque individu qui approuve le suicide au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

Allah interdit de pousser les enfants au suicide en Son nom (déshumanisation combinée par les chefs religieux des tribus sauvages).

 

L’ordure qui pousse l’enfant au suicide, équivalent des pires pédophiles, en prétextant l’instruction d’Allah, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable». Promesse de Lucifer.

 

L’ordure qui pousse l’enfant au suicide, équivalent des pires pédophiles, en prétextant l’instruction d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

L’ordure qui approuve le suicide d’un enfant transformé en bombe au nom d’Allah endure d’un coup des colossales sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

Lucifer tient toujours parole.

 

Personne ne peut attendrir Lucifer.

 

Personne ne peut tromper Dieu.

 

Personne ne peut tromper Allah.

 

Personne ne peut tromper Lucifer.

 

La tromperie ne fonctionne pas avec le système karmique (justice divine) dont l’infaillibilité ne cesse jamais.

 

Dieu ne marchande jamais (illusion que propagent les chefs religieux des tribus sauvages).

 

Lucifer ne s’oppose jamais à la justice d’Allah.

 

Lucifer exécute la justice d’Allah.

 

Les êtres «libérés» souscrivent aux promesses de Lucifer.

 

Les êtres «libérés» respectent chaque promesse de Lucifer.

 

Il n’est pas conseillé de défier Lucifer.

 

Même le diable n’ose pas irriter Lucifer.

 

Lucifer est bien pire que le diable.

 

Lucifer peut «écrabouiller» le diable comme une m…

 

Le diable ne peut rien contre Lucifer.

 

Le diable a peur de Lucifer.

 

Le diable sert Lucifer comme un larbin trouillard.

 

Lucifer utilise le diable quand il ne veut pas se «salir les mains».

 

Le diable est un mal qui a pour finalité sa disparition.

 

Le diable sert de révélateur: son action fait apparaître la véritable nature d’un homme.

 

L’homme évolué ne succombe pas aux tentations du diable.

 

La créature primaire succombe aux tentations du diable.

 

Le diable demande à l’individu de tuer au nom d’Allah.

 

Mahomet s’est laissé berner par le diable.

 

Après sa mort, dans l’«au-delà», Mahomet n’est pas «libérable».

 

Mahomet ne fait pas le poids devant Lucifer.

 

Les zélotes mahométans, qui tuent au nom d’Allah, sont des chiures de mouches devant Lucifer.

 

Lucifer est le chevalier protecteur de Dieu.

 

Dieu commande Lucifer.

 

Etant avisé, Dieu n’édicte pas des règles morales sans prévoir la surveillance permanente d’une «police».

 

La «police» de Dieu est le système karmique (justice divine).

 

Le «chef de la police divine» est Lucifer.

 

Lucifer cumule plusieurs fonctions.

 

Première fonction de Lucifer, conférée par Allah: «chapeauter» le système karmique (justice divine).

 

Deuxième fonction de Lucifer, conférée par Allah: expliquer les mystères métaphysiques du monde.

 

Les autres domaines d’activité de Lucifer, assignés par Dieu, sont secrets.

 

Paradis bédouin

Pour les religieux qui tuent au nom d’Allah, et leurs suppôts: pas de «paradis», aucun jardin édénique, pas une seule des soixante-douze femelles ou autres chimères bédouines. Promesse de Lucifer.

 

Le «paradis» bédouin, son jardin édénique, ses soixante-douze femelles et autres chimères pour gogos arriérés n’est qu’une promesse d’escroc confessionnel.

Dans l’«au-delà», Allah n’attribue aucun cheptel d’une septantaine de femelles à un individu. Divagation de Bédouins ignares.

 

Ceux qui croient à la promesse d’un paradis bédouin de bonimenteurs religieux, alors que ces derniers commettent les pires méfaits au nom d’Allah, sont des ânes.

 

Ane est celui qui gobe le paradis bédouin du bonimenteur au nom d’Allah, du menteur au nom d’Allah, du voleur au nom d’Allah, du pilleur au nom d’Allah, du kidnappeur au nom d’Allah, du rançonneur au nom d’Allah, du violeur au nom d’Allah, de l’esclavagiste au nom d’Allah, du lapideur au nom d’Allah, du tortionnaire au nom d’Allah, de l’égorgeur au nom d’Allah, de l’immolateur au nom d’Allah, etc. Un vrai c…

 

Le «paradis» sirupeux destiné aux croyants crédules n’a pas plus de réalité matérielle que l’antre du diable dépeint par des cerveaux enfiévrés. Ce lieu de supplices spectaculaires pour films gore siège dans la tête des hommes. Nulle part ailleurs. En revanche, un enfer concret existe. Il se trouve sur terre. Quelques exemples: misère extrême, déshumanisation guerrière, torture, crimes de pervers, esclavage, harcèlements incessants, brutalités domestiques, dépression grave, manque du drogué, hallucinations abrutissantes, douleurs impossibles à supprimer… Face à de pareils enfers, celui du descripteur religieux n’impressionne guère les victimes énumérées.

 

Enfer

L’ensemble des tourments touchant le «passage du trépas», mentionnés d’une façon métaphorique par d’antiques croyances, ne concernent que l’homme ayant «les portes de l’enfer» largement ouvertes avant sa mort.

 

Après le «passage d’angoisse», celle-ci continue dans l’au-delà pour l’homme ayant «les portes de l’enfer» largement ouvertes.

 

Sauvage

Sacraliser divers endroits, souvent supposés, où les chefs des tribus sauvages parlèrent d’unicité de Dieu, relève du fétichisme.

 

Ce qui est vraiment sacré réside dans le cœur de l’homme, pas ailleurs.

 

L’homme civilisé ne tue pas pour les bouts de terrains hypothétiques qui furent sacralisés par des récits mythiques.

 

Les religieux féroces des tribus sauvages imaginèrent le Dieu unique à leur image.

 

Les sauvages prêtent à Dieu ou aux dieux leur sauvagerie native.

 

Les sauvages sont incapables de concevoir un Dieu altruiste, désintéressé, impartial, non susceptible, non jaloux, non agressif, non tyrannique, non vengeur, non meurtrier, non pervers, non psychopathe, non paranoïaque…

 

Tuer au nom d’Allah équivaut à tuer au nom du diable puisque celui qui tue au nom d’Allah exécute l’ordre du diable.

 

Le religieux qui tue au nom d’Allah s’attire Sa «condamnation».

 

Dieu interdit de tuer en Son nom. Il s’agit d’une interdiction éternelle.

 

Allah interdit de tuer en Son nom. Il s’agit d’une interdiction éternelle.

 

Les prophètes qui enfreignirent l’interdit capital de tuer en impliquant Allah subirent Son châtiment implacable.

 

Chaque prophète, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Chaque messie, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Chaque fondateur de religion, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Chaque instigateur de secte, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Chaque gourou, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Chaque maître, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Chaque saint, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Allah n’exige pas une vénération ostentatoire (pratique des tribus sauvages).

 

L’homme qui pratique une vénération ostentatoire pour Allah, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui ne pratique pas une vénération ostentatoire pour Dieu, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Allah refuse la prosternation en signe de «soumission» envers Lui (fétichisme des tribus sauvages).

 

N’étant pas un tyran, Allah réprouve ces marques de déférence humiliante (nez dans la poussière et fesses en l’air) qu’exigent les potentats.

 

Allah désavoue toutes les formes de servilité.

 

L’individu qui, fanatiquement, se prosterne en signe de «soumission» envers Allah, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah ne demande pas de savoir par cœur l’intégralité d’un livre sacré (fétichisme doctrinal qu’imposent les chefs religieux des tribus sauvages).

 

L’homme qui sait par cœur l’intégralité d’un livre sacré, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

L’homme qui a une faible connaissance des textes sacrés, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Le dignitaire d’une religion, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

L’individu qui pratique fanatiquement une religion, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui n’appartient à aucune religion, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Le religieux qui, dans l’«au-delà», dément le système karmique (justice divine), n’est pas «libérable».

 

N’est pas «libérable», l’athée qui, dans l’«au-delà», dément le système karmique (justice divine).

 

N’est pas «libérable», l’athée qui, dans l’«au-delà», conteste l’existence de la Conscience Initiale.

 

Dans l’«au-delà», n’est pas «libérable», l’individu qui n’éprouve aucune sympathie pour la Conscience Initiale.

 

Dans l’«au-delà», n’est pas «libérable», l’individu qui n’éprouve aucune sympathie pour la majorité des créatures.

 

Allah n’exige pas des jeûnes grégaires (usage des tribus sauvages).

 

L’individu qui pratique fanatiquement le jeûne grégaire, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui ne pratique pas le jeûne grégaire, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Allah n’exige pas une «préparation» spéciale qui entraîne un surcroît de souffrance chez l’animal tué pour être mangé (coutume des tribus sauvages).

 

L’individu qui, fanatiquement, consomme des aliments ayant subi une «préparation» religieuse, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui ne consomme pas des aliments ayant subi une «préparation» religieuse, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Allah n’exige pas la circoncision (barbarie des tribus sauvages).

 

L’individu circoncis, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme non circoncis, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Chaque circonciseur, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Dieu n’exige pas l’excision (barbarie des tribus sauvages).

 

La femme excisée, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

La femme non excisée, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Chaque exciseuse, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah n’exige pas que les femmes soient voilées (coutume imbécile des tribus sauvages).

 

La femme voilée, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

La femme non voilée, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

L’individu qui impose le voile aux femmes, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah n’exige pas que les femmes portent un niqab (coutume imbécile des tribus sauvages).

 

La femme qui porte le niqab, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

La femme qui ne porte pas le niqab, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

L’individu qui impose le niqab aux femmes, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Prier

Allah n’exige pas qu’on prie un nombre précis de fois par jour (coutume superstitieuse des tribus sauvages).

 

L’individu qui prie fanatiquement un nombre précis de fois par jour, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui ne prie pas un nombre précis de fois par jour, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Dieu n’exige pas que les prières soient faites en groupe (coutume superstitieuse des tribus sauvages).

 

L’individu qui prie fanatiquement en groupe, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui ne prie pas en groupe, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Allah n’exige aucune prière dans la rue (inacceptable revendication politique d’une religion archaïque).

 

L’individu qui participe aux prières sur la chaussée, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah n’exige aucune prière au travail (inacceptable revendication sociale d’une religion archaïque).

 

L’individu qui réclame un local pour prier sur son lieu de travail, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah n’exige pas que l’homme passe tout son temps à Le louer.

 

L’amour pour Allah présente une similitude avec celui qui unit deux amants sur terre, quand ces derniers sont matures. Nul besoin de répéter compulsivement son amour à l’aimé(e).

 

Si l’amour mutuel de chaque amant terrestre est sincère, l’aimé(e) qui réclame toujours plus d’aveux amoureux a des problèmes psychologiques.

 

Allah n’a pas de problèmes psychologiques.

 

Quand l’amour de l’homme pour Dieu est sincère, Allah Le sait.

 

Chacun arrête librement ses méditations concernant Allah.

 

Personne ne doit imposer des méditations concernant Allah.

 

Personne ne doit fixer le contenu des méditations concernant Allah. Chaque homme est métaphysiquement libre.

 

Allah n’accorde aucune attention aux prières grégaires.

 

Aimer l’humanité, c’est aimer Dieu.

 

Aimer le savoir, c’est aimer Dieu.

 

Aimer l’art, c’est aimer Dieu.

 

Aimer la nature, c’est aimer Dieu.

 

Aimer les animaux, c’est aimer Dieu.

 

La Conscience Initiale ne demande pas à être aimée par caprice.

 

La Conscience Initiale n’impose aucun amour en Sa faveur.

 

La Conscience Initiale ne sollicite aucune dévotion servile, tel un tyran ombrageux, comme l’imaginent les chefs religieux des tribus sauvages.

 

On ne peut aimer l’humanité sans aimer Dieu.

 

On ne peut aimer la nature sans aimer Dieu.

 

On ne peut aimer l’art sans aimer Dieu.

 

On ne peut aimer le savoir sans aimer Dieu.

 

On peut aimer Dieu sans le savoir.

 

Aimer le bien est faire preuve d’intelligence.

 

Aimer le mal est faire preuve d’imbécillité.

 

N’aime rien, le pauvre c…

 

Aimer la Conscience Initiale relève simplement du discernement.

 

L’amour absolu n’existe pas sur terre.

 

L’amour absolu peut exister dans l’«au-delà».

 

L’amour absolu, sur terre, est un objectif qui recule quand on avance.

 

Puisque, sur terre, l’amour absolu recule quand on avance, mieux vaut ne pas le convoiter.

 

La personne raisonnable recherche l’amour raisonnable.

 

Rechercher l’amour absolu, c’est aller au-devant des emm…

 

Le marin guidé par l’étoile polaire sait que jamais il ne la touchera.

 

Suprématie

Allah ne place pas l’homme au-dessus de la femme (coutume machiste des tribus sauvages).

 

L’individu qui place l’homme au-dessus de la femme, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah n’interdit pas la scolarité aux filles (coutume phallocrate des tribus sauvages).

 

L’individu qui interdit la scolarité aux filles, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Allah ne condamne pas l’homosexualité (barbarie des tribus sauvages).

 

L’individu qui condamne l’homosexualité, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

La personne homosexuelle, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Un misogyne, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Un phallocrate, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Chaque macho islamique, systématiquement, est obligé de se réincarner en femme musulmane.

 

Une femme, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Un riche, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Un pauvre, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

L’individu célèbre, dans l’«au-delà», n’est pas forcément «libérable».

 

Un homme sans prestige, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Mentir

Le menteur invétéré, pour des raisons méprisables, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

Exiger l’absence de mensonge tout le temps est puéril.

– Ça va?

– Ça va! (Mensonge fréquent chez ceux qui ne veulent pas faire ch… les autres avec leurs petites misères physiologiques).

 

Pour faire avancer la cause de l’Islam, chaque musulman doit mentir systématiquement aux non-musulmans. Ce dogme islamique (al taqqiya) est une immense faute morale.

 

Sous prétexte qu’il profite à l’islam, un acte immoral ne devient pas moral.

 

La taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet) est une hypocrisie fondamentale qui vicie l’esprit des musulmans.

 

Commettre la taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet) déforme irrémédiablement l’esprit des musulmans.

 

Une religion saine ne prône pas le mensonge.

 

Pareils aux mensonges pour raisons sordides des autochtones français, les mensonges islamiques de la taqqiya sont tout autant méprisables.

 

Les mensonges méprisables sont d’infects pets de l’âme.

 

La taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet) ne permet aucune droiture religieuse du musulman envers les non-musulmans.

 

Informé de la taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet), le non-musulman ne fait confiance à aucun musulman.

 

Allah interdit la taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet).

 

Le musulman qui pratique la taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet), dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

La taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet) est fortement sanctionnée par le système karmique (justice divine).

 

Le musulman qui pratique la taqqiya (mensonge préconisé par Mahomet), dans l’«au-delà», subit d’éprouvantes sanctions karmiques. Promesse de Lucifer.

 

Pour être «libérable», dans l’«au-delà», tout dépend du niveau moral de l’individu.

 

Allah n’impose pas le pèlerinage sur les lieux saints (pratique des populations superstitieuses).

 

L’individu qui effectue fanatiquement un grand pèlerinage, dans l’«au-delà», n’est pas «libérable».

 

L’homme qui ne fait aucun grand pèlerinage, dans l’«au-delà», est «libérable».

 

Aucune conjuration du diable, consistant à se travestir pour jouer une scénette avec des cailloux, ne remplace un long travail introspectif, constant, jamais terminé. Expérience discrète, vécue, où l’on ne joue pas la comédie.

 

Aucun sacrifice animal, a fortiori humain, ne rend la Conscience Initiale perméable aux requêtes des hommes. Cette sollicitation abjecte, prise par Elle comme un affront, est transmise à qui de droit, dont les «cadeaux empoisonnés», différés le plus souvent, ne peuvent qu’épouvanter.

 

Sacrifier un animal pour raison religieuse ou par coutume superstitieuse est interdit par Dieu.

 

L’individu qui sacrifie un animal pour raison religieuse ou par coutume superstitieuse subit les pires réincarnations. Promesse de Lucifer.

 

Vénérer un bout d’os ou quelque babiole ayant appartenu à une vedette de la sphère religieuse ne procure aucun bénéfice spirituel. Il s’agit d’une sorte de fétichisme, d’idolâtrie. Ce n’est toutefois pas une raison pour détruire certains monuments artistiques ou des archives historiques. En révérant outre mesure diverses prétentions arbitraires, cette sauvagerie culturelle participe tout autant du fétichisme, de l’idolâtrie. C’est même leur forme la plus exécrable, car voulant se faire passer pour son contraire. Les agissements d’un ramassis de dangereux faux c….

 

La soumission religieuse à des injonctions irrationnelles, répétées comme un perroquet, doit être remplacée par une réflexion personnelle où règnent la logique et le bons sens.

 

Conte du savant ignorant

Supposons qu’un livre saint comporte 50% de vérités et 50% d’erreurs. S’il devait coller à la réalité, ce pourcentage aurait sans doute une autre valeur, mais 50 est fort commode pour la comprenette. Deux lecteurs se présentent. Le premier est religieux, l’autre athée.

Le religieux dit: dans ce livre, tout est juste. Il se trompe à moitié.

L’athée dit: dans ce livre, tout est faux. Il se trompe à moitié.

Les deux lecteurs sont donc à égalité. Intervient un docte savant. Il sait qu’une partie du livre saint est juste, et pas l’autre. Fort de cette connaissance, il donne des leçons à chacun. Or, quand c’est juste, il dit: c’est faux! Et quand c’est faux, il dit: c’est juste! Plus que le premier ou le deuxième lecteur, le docte religieux se trompe complètement. En fin de compte et tous comptes faits, tel certains érudits, le savant est le plus ignorant de tous.

 

Les «directeurs de conscience», le cerveau encombré d’un fatras de pensées caduques, aussi boulimiques qu’inutiles, doivent beaucoup désapprendre. Leur savoir religieux, vermoulu, interdit aux nations qu’ils régentent d’atteindre la modernité des pays évolués.

 

Un maître est censé tout savoir sur tout. Personne, sur terre, à toutes les époques, ne sait tout sur tout.

 

Gardez-vous des gens qui ont une «bonne» réponse à tout. Groupes religieux et politiques y compris. Ou, gobe-mouches, vous allez y perdre des plumes.

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